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Voir tous les chiffres...D’après les résultats du deuxième trimestre 2011, avec une augmentation de 1,2% du revenu disponible brut des ménages français, les dépenses de ces derniers ont baissé au profit de l’épargne.
Même si les prix des produits raffinés ont connu une baisse, ce n’est pas pour autant que les consommateurs ont augmenté leurs dépenses. Au contraire, elles ont reculé de -0,2% en valeur selon une étude menée récemment par l'Insee. De son côté, le taux d’épargne a connu une hausse de 1,1 point par rapport au premier trimestre, soit l’équivalent de 17%. Il s’agit là du plus haut niveau depuis le dernier trimestre de l’année 2009. Selon le bureau d’étude Bipe, cette augmentation est liée à l’inquiétude des foyers concernant la santé économique ou bien encore les revenus.
En outre, cette hausse est conjoncturelle. En effet, certaines aides étatiques, on pense notamment à la prime à la casse dans le secteur de l'automobile, poussent les Français à consommer. Si aujourd'hui l'épargne navigue aux alentours des 17%, il faut cependant s'attendre à fluctuation à la baisse. Ainsi, les hausses de prix de l’immobilier ou bien encore une éventuelle baisse du chômage peuvent faire reculer l'épargne. Un cas de figure que l'on a d'ailleurs connu entre 2002 et 2008.
Pourquoi a-t-on alors assisté à une telle envolée de l'épargne en France ? La réponse est assez simple : la crise. Cette dernière a fortement poussé les ménages à mettre de côté pour se protéger d'un éventuel coup dur. Il s’agit là d’une "épargne de précaution" qui se matérialise davantage sous la forme d'une disponibilité de liquidité. Une conjoncture qui a fortement appuyé le succès du célèbre livret A. D’ailleurs, au mois d’août 2011, ce type de placement a connu son plus haut niveau depuis le début de l'année avec une augmentation des placements de 2,9 milliards d’euros. La baisse de la capacité d’emprunt des Français constitue également un autre facteur qui peut expliquer la hausse du taux d’épargne. Les crédits accordés pour l’habitat ont effectivement reculé. Une analyse qui entraine une importante baisse des transactions et des plus-values.
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